dimanche 11 mars 2012

Ascension du Dziani Bolé.

Ben voilà, c'est fait. depuis le temps que je le regardais se dresser fièrement, écrasant le village de sa masse verte, je me suis enfin décidé. Maintenant, je sais plusieurs choses : ne pas prendre pour guide un jeune mahorais habitué à le gravir du haut de ses 16 ans, apparemment croisé avec un cabri, qui ne vous laisse aucun répit, choisit le chemin qui monte tout droit à travers les rochers, parmi les nuées (tiens, c'est marrant, ça ...) de moustiques qui ne vous laissent eux non plus aucun répit ... Bref, c'est fait et j'en ai ch... pour la montée. Joli panorama, repos, puis direction Dzoumogné par la campagne, histoire de se promener et de faire un arrêt ravitaillement dans les parcelles cultivées par la famille de mon cabri.
Allez, quelques photos.

Vue du Dziani  Bolé sur les îlots. A gauche le collège.

Ensuite, après une pause, descente en direction de Dzoumogné.

Champ de manioc.

Ravitaillement directement au cocotier. Sacré grimpeur.

Après l'effort, le réconfort.

La coco verte s e boit puis se mange. C'est un pur bonheur.

La descente, c'est toujours plus facile. Eh ben non, c'est juste un peu moins fatigant, mais glissant.

On brade

Salut à toutes et à tous.
 Oui, je sais, j'ai tendance à négliger mon blog depuis déjà quelques mois. Des fois, je commence à publier un article, et là, quand j'ajoute les photos, cela prend des heures avec un débit de 40 ko/ s dans les meilleurs moments. Alors, saison des pluies oblige, quand la coupure de courant fatale survient, je pète un plomb et je me promets de ne plus me prendre le chou avec cela.
Bon aujourd'hui, on va essayer d'y consacrer quelques heures. C'est parti avec des choses en vrac

Pour ceux qui envisageraient de passer me voir, voici l'aéroport international de Pamandzi,Mayotte,

et côté piste. Immense, n'est-il pas ?

Et décollage au dessus du lagon.





Vous passerez aussi par Antananarivo, à Madagascar.

Et peut-être par Monbasa, au Kénya pour refaire le plein de kérosène.

Il y a un décalage entre l'architecture locale et l'aéroport que vous n'apercevrez que de loin.